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Nayo RAINCOCK-EKUNWE (Charleville-Mézières) : « Ce sera intéressant de comparer la LFB avec le championnat australien »

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L’intérieure canadienne a fait ses débuts avec les Flammes ce samedi © Michel RENAUX

 

La semaine dernière, Nayo RAINCOCK-EKUNWE a posé ses valises dans les Ardennes pour remplacer Alicia DEVAUGHN à Charleville-Mézières. Nous en avons profité pour lui poser quelques questions.

 

Peux-tu d’abord te présenter au public français ?

Bonjour, je m’appelle Nayo RAINCOCK-EKUNWE, j’ai 25 ans. Je suis née à Toronto, au Canada. J’ai fait mes études à l’Université Simon FRASER, à Vancouver. C’est ma quatrième saison en tant que basketteuse professionnelle.

 

Tu vas passer plusieurs semaines semaines en France. Que sais-tu de notre championnat ?

A vrai dire, je ne sais pas grand-chose du championnat français. Je sais juste que c’est une ligue très forte, et que chaque équipe peut battre l’autre à n’importe quel moment.

 

Revenons sur ta saison en Australie. Qu’est-ce qu’il a manqué à Bendigo pour atteindre les demi-finales des playoffs ? Que peux-tu nous dire sur cette expérience en WNBL ?

Mon équipe en Australie était toute proche d’atteindre les playoffs. On a manqué de régularité et on a perdu plusieurs matches sur des scores serrés alors qu’on aurait dû les gagner. C’est décevant à la longue parce qu’on voulait vraiment jouer les playoffs.

Je ne retire que du positif de cette expérience. Il y a beaucoup de très fortes joueuses là-bas. On y pratique beaucoup le jeu rapide avec de l’intensité physique. Ca sera intéressant pour moi de comparer la LFB avec la WNBL.

 

Ce samedi, tu as donc disputé ton premier match sous tes nouvelles couleurs. Quelles sont tes impressions après cette victoire face à Tarbes (92-67) ?

Je suis très contente de ce premier match ! J’étais très nerveuse avant le coup d’envoi mais je me suis bien sentie dans l’équipe, j’étais bien avec mes coéquipières. Naturellement, ça va prendre du temps avant que je sois complètement à l’aise, notamment en attaque. Je suis encore en train d’apprendre les systèmes et à m’acclimater après un long voyage depuis l’Australie (où c’est l’été, ndlr). Mais les filles font de très bonnes choses pour m’aider à m’adapter, que ce soit sur le terrain ou en dehors.

 

Merci Nayo et bonne fin de saison avec Charleville-Mézières !

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