
Thibaut LASSER, ici avec Jelena BROOKS, a rejoint notre équipe en 2011 © Thibaut LASSER
Afin de célébrer un peu plus les 20 ans de notre site et de marquer le coup pour cette occasion avec vous. J’ai (Mathieu DUBOIS) décidé de mettre sur le grill un de nos rédacteurs fétiches, Thibaut LASSER. Nous vous remercions encore une fois vivement pour votre confiance et votre amour partagé pour le basketball féminin.
Avant de rentrer dans le vif du sujet, peux-tu te présenter en quelques mots ? D’où t’es venu la passion du basketball ?
Bonjour à toutes et tous ! Je m’appelle Thibaut LASSER, j’ai 38 ans (et toutes mes dents, je crois !). J’habite près de Valenciennes, dans le Nord et je fais partie des rédacteurs bénévoles du site Postup.fr depuis 2011. A l’époque, c’était sous la forme du blog Basquetebol Saulzoir, créé en 2005 par Laurent JEANNAS pour apporter un regard différent par rapport à ce que proposait alors le site Basquetebol.org, qui n’existe plus aujourd’hui. Pour ma part, j’ai découvert ce sport, spécifiquement le basket féminin assez jeune. En effet, étant en situation de handicap, j’étais scolarisé dans l’Institut d’Education Motrice qui se trouvait juste à côté de là où jouait la grande équipe de l’USVO. De ce fait, bien qu’ayant eu une scolarité « normale » (je n’aime pas ce terme !), tous les mercredis matin nous allions pratiquer un sport à la salle du Hainaut et une semaine sur deux, on tombait en même temps que l’entraînement des Valenciennoises, entraînées par Marc SILVERT puis Laurent BUFFARD à ce moment-là. Petit à petit, le personnel de l’école avec qui nous étions (essentiellement des kinés) nous ont permis de rencontrer des joueuses telle que Jurgita STREIMIKYTE, Ana Belén ALVARO, Brigitte TOURNEBIZE, Loëtitia MOUSSARD (à qui je m’étais payé le culot un jour de lui demander pourquoi son prénom s’écrivait ainsi… la honte !) et, bien évidemment, Audrey SAURET ou, plus tard, Sandra LE DREAN, Isabelle FIJALKOWSKI, Edwige LAWSON-WADE et bien d’autres encore. A chaque fois que je revois Audrey avec plaisir, j’ai toujours une certaine émotion puisque je lui ai toujours dit que c’était grâce à elle que j’avais pris le virus du basket féminin tellement ce qu’elle dégageait sur le parquet était communicatif. C’est à l’âge de 9 ans que je suis allé voir mon premier match avec mon père, un Valenciennes-Tarbes, le TGB était alors coaché par Damien LEYROLLES et dans l’équipe, il y avait une certaine Christine GOMIS, qui m’avait marqué par sa ténacité sur le parquet. Plus tard, on s’est revus et j’ai découvert quelqu’un d’une grande gentillesse, comme toutes les joueuses que j’ai citées précédemment.
Habitant à côté de Valenciennes, quel est ton club que tu portes dans ton cœur ?
La place que j’ai actuellement sur ce site fait que je ne peux pas trop répondre à cette question mais tout ce que je peux dire c’est que, contrairement à beaucoup de gens, je ne suis pas particulièrement nostalgique de « l’époque USVO » puisque je n’étais pas autant impliqué qu’aujourd’hui et notre Région peut se vanter d’avoir un sacré vivier de clubs à différents niveaux. De ce fait, bien que n’ayant pas le permis et même si, pour des raisons personnelles, je ne sais pas de quoi mon avenir sera fait, je me déplace pratiquement chaque week-end dans une salle de basket, grâce à un ami qui, j’espère, se reconnaîtra et que je remercie sincèrement. Si je fais ça, ce n’est pas pour faire connaître (ça, c’est le deuxième effet Kisscool) ni pour me faire connaître, mais très égoïstement parce que j’adore l’ambiance qui y règne, que ce soit avant, pendant ou après un match. C’est aussi pour faire des photos permettant d’alimenter le site.
A quel âge as-tu commencé à suivre le championnat de France ? Quels sont les souvenirs que tu gardes des premiers matchs auquel tu as assisté ?
Pardon de me répéter mais comme évoqué précédemment, j’ai assisté à mon premier âge à l’âge de 9 ans donc forcément à l’époque, j’étais moins assidu et je m’intéressais au foot masculin mais il fallait également que je travaille bien à l’école ! Pour autant, au fil des années, j’ai pu rencontrer les bonnes personnes au bon moment et sans vouloir paraphraser Edouard BAER dans « Astérix et Obélix, Mission Cléopâtre » : « si je devais résumer ma vie aujourd’hui avec vous, je dirais que c’est d’abord des rencontres, des gens qui m’ont tendu la main ». Je suis sûr que vous avez la réf. ! Pour ce qui est de mes premiers matches, je parlais de Christine GOMIS mais je me souviens aussi du dynamisme d’Ana Belén ALVARO, qui lui permettait de combler sa petite taille. Et bien évidemment, comment oublier le premier titre européen de l’USVO en 2002 à Liévin. A la fin du match, j’étais allé demander à Jean-Louis BORLOO, alors maire de Valenciennes puis Ministre et Ministre d’Etat par la suite, son maillot « USVO champion d’Europe ». Il a poliment refusé en me disant « Ah non, celui-ci, je le garde ! » mais c’était vraiment une soirée mémorable où les gens faisaient la fête. C’est ça aussi que j’aime dans le sport : en tribune, il peut y avoir l’ouvrier, le chef d’entreprise ou le fonctionnaire qui se retrouvent pour assister à un match et ensuite boire un coup ensemble. Ca ne concerne pas mon premier match parce que ça remonte à beaucoup plus loin mais pour diverses raisons, je n’oublie pas non plus les différentes éditions de l’Open LFB, événement qui n’existe malheureusement plus mais qui, sur un week-end et en un lieu unique (la plupart du temps dans la salle COUBERTIN à Paris XVIème), permettait d’assister à toute la première journée de championnat mais aussi et surtout de rencontrer toutes les personnes qui gravitent autour du basket féminin français, que ce soit les joueuses, les coaches ou même les supporters. C’est ainsi que j’ai rencontré mon ami Marc alors qu’il vit en Loire-Atlantique, il est ainsi devenu rédacteur bénévole de notre site jusqu’à l’été dernier, où il a malheureusement décidé de quitter ses fonctions. Je pense également à Guillaume, Floriane, que je ne connaissais alors que via les réseaux sociaux et que j’ai donc rencontrés lors de l’Open. Je n’oublie pas non plus les nombreux photographes avec qui j’ai pu tisser des liens et certains sont aussi devenus des amis, je pense ainsi à Jean-Joël, Jean-Patrick, Romain, Mickaël…
La joueuse qui t’a le plus marqué en Live ? La joueuse que tu aurais rêvé voir jouer ou rêverais de voir jouer ?
Sans hésitation : Diana TAURASI ! C’était en 2008, j’avais 21 ans la seule fois où j’ai eu l’honneur d’échanger quelques mots et de faire une photo avec elle et j’étais comme un gosse. Sur quelques mètres carrés à Valenciennes, il y avait Diana TAURASI, Lauren JACKSON ou Sue BIRD, ça calme ! A l’époque, elles jouaient au Spartak Moscou et même si le mode de fonctionnement des clubs russes est plus que discutable, surtout dans la situation actuelle, j’en garde un excellent souvenir. Beaucoup plus tard, j’ai eu la chance de rencontrer une certaine Brittney GRINER avec qui j’ai pu discuter et faire une photo aux côtés de mon frère. Je pense aussi à des Espagnoles comme Alba TORRENS ou Silvia DOMINGUEZ, d’une grande simplicité. A tel point que cette dernière avait transmis à mon amie Johanne GOMIS un maillot de Salamanque pour moi… Je ne m’y attendais vraiment pas. Parce que oui, là où Louis NICOLLIN collectionnait les maillots de foot, eh bien moi ce sont ceux de basket féminin. Pour ce qui est des joueuses que je rêverais de voir jouer, même si je n’ai plus cette casquette de fans que j’avais à l’époque (eh oui, on vieillit, ma bonne dame !), je ne vais pas être très original mais j’aimerais beaucoup voir jouer Caitlin CLARK pour constater de mes propres yeux l’aisance avec laquelle elle évolue sur le parquet. En plus, même si elle est décriée, je suis sûr que c’est une belle personne et pour moi, c’est important de ne pas réduire les joueuses et les coaches à leur rôle en tant que professionnels, ce sont avant tout des êtres humains.
Concernant ce site que tu chouchoutes et que tu bichonnes jour après jour, je parle bien sûr toujours de postup.fr, quel regard portes tu sur l’évolution du site depuis 20 ans ?
Même si je ne faisais pas partie de l’aventure à ses débuts, il était alors assez intimiste avec simplement des comptes-rendus de matches pas très approfondis parce qu’on ne pouvait se baser que sur des feuilles de statistiques, et encore ! Aujourd’hui, le site Postup.fr est en phase avec son temps puisque, grâce au développement des nouvelles technologies, on peut proposer des vidéos en tout genre, même si nous n’en sommes pas à l’origine (le fameux Web 2.0 basé sur le partage, tout ça tout ça…) parce que l’essentiel, c’est de faire parler de ce sport le plus possible et au maximum de gens. Pour autant, je mets un point d’honneur à ce que l’on reste le plus neutre possible et ceux pour plusieurs raisons. J’estime que, pour la plupart d’entre nous, nous ne sommes pas complètement spécialistes comme peuvent l’être certaines joueuses ou certains coaches et à ce titre, qui sommes-nous pour critiquer publiquement la décision prise par un entraîneur qui a coûté la défaite de telle ou telle équipe ? De plus, on nous a souvent reprochés de publier des informations plus tard que la concurrence. C’est un choix totalement assumé par votre serviteur dans le sens où on ne veut pas faire du buzz pour faire du buzz. De ce fait, on préfère qu’une information soit officialisée par un club, un dirigeant, un coach, une joueuse ou son agent, pour à notre tour en parler sur notre site. Ca s’appelle de l’amateurisme ? Non, ça s’appelle du respect pour ces personnes et pour leur profession. Et par la même occasion, ça nous donne de la crédibilité, une valeur qui se perd de plus en plus… au profit de ce fameux buzz.
Je suis obligé de te lancer des fleurs pour le travail colossal réalisé jusqu’à aujourd’hui ! Merci à toi ! As–tu le sentiment que le site continue de mettre en lumière un sport encore trop en retrait et qu’il rend service à de nombreux fans de la balle orange ?
Ca commence par du fayotage, c’est moche… (rires !) Plus sérieusement, je l’espère sinon on n’a plus qu’à le fermer. Je suis juste très amer par rapport au fait qu’à ce jour, nous manquons de rédacteurs bénévoles et de ce fait, nous allons sans doute devoir nous résoudre à arrêter certains championnats français, notamment ceux dont le nombre de poules est considérable. N’oubliez pas que nous ne sommes que bénévoles ! Mais je refuse que ce statut engendre le fait que nos articles soient bâclés, là encore par respect pour les personnes concernées et pour nos lectrices et lecteurs. Désolé d’avance si ma réponse va paraître prétentieuse mais oui, j’ai l’impression de rendre service aux gens lors de chaque article publié sur notre site. Quand je me déplace dans une salle, il m’arrive d’ailleurs que certaines personnes viennent vers moi sans me connaître personnellement (je me déplace en fauteuil roulant donc ça ne passe pas inaperçu !) pour me remercier de leur permettre de suivre l’équipe de leur fille ou de leur équipe préférée, que ce soit en lisant notre résumé des matches du week-end ou alors grâce à notre Programme Web TV. Clairement, ce n’est pas dans cette optique que je me rends dans les salles. Pour parler vulgairement, je n’y vais pas pour me faire « mousser ». Malgré tout, cette reconnaissance fait vraiment chaud au cœur et motive à poursuivre dans cette voie même si, encore une fois et à titre personnel, je ne sais pas de quoi mon avenir sera fait. Je me souviens aussi qu’il y a quelques années, un coach de NF1 qui est désormais au sein d’un staff masculin, m’avait remercié concernant les tableaux des transferts parce que ça lui permettait de savoir quelles joueuses étaient sans club et ainsi recruter afin de répondre aux exigences fédérales dans ce domaine.
Te souviens-tu d’un retour extérieur qui t’avait particulièrement touché ?
Vu mon grand âge (humour, hein !), je n’ai plus une mémoire d’éléphant mais à l’instant T, je me souviens qu’en Belgique, des coaches m’ont déjà remercié de vive voix, idem pour l’Espagne ou, plus près de nous, en NF1. En l’occurrence, même s’il n’est désormais plus en poste, j’ai été particulièrement marqué par les félicitations de Monsieur Chris SINGLETON, coach de Sceaux à ce moment-là, et que je regarde plusieurs fois par semaine sur BeinSports. Cette fois, je vais paraphraser Thierry ROLAND : « Après avoir vu ça, on peut mourir tranquille ! Enfin, le plus tard possible… Oh p… quel pied ! ». Loin de moi l’idée de faire pleurer dans les chaumières mais quand on est quelqu’un en situation de handicap en fauteuil roulant et qu’on se retrouve devant quelqu’un qui fait 1,90 m (homme ou femme, peu importe), soit on se fait plus petit qu’on est, soit on y va au culot et on leur parle d’égal à égal. C’est, par exemple avec cet état d’esprit que je suis allé à la rencontre d’un monument de ce sport qu’est Madame Marina MALJKOVIC. Vous l’aurez compris : je n’ai pas particulièrement la langue dans ma poche et étant diplômé en traduction, le fait de parler plusieurs langues m’aide à aller vers les gens pour discuter quand ce ne sont pas eux qui ont fait le premier pas. C’est d’ailleurs grâce à cela que des gens que je citerai plus tard sont devenus de vrais amis. Pour revenir quand même à la question (promis, je vais arrêter de trop raconter ma vie !), même si je le connaissais déjà quand il était dirigeant d’une équipe masculine, j’étais très touché quand Christophe VITOUX, Manager Général de l’ESBVA-LM, m’a félicité pour le travail que l’on fait sur le site. A ce jour, je n’ai pas encore eu l’honneur de rencontrer Jean-Aimé TOUPANE mais cette question me permet d’avoir une pensée pour Valérie GARNIER, qui a toujours eu de l’intérêt pour notre travail. J’ai aussi une pensée pour mon ami Rachid MEZIANE qui, dès que son départ pour les Connecticut Sun avait été acté, m’avait dit de ne pas hésiter à se tourner vers lui. Ce ne sont que des exemples parmi tant d’autres, je ne peux pas tous les citer car certains me permettent d’obtenir des informations, c’est une autre manière de nous montrer que notre site les intéresse et leur plait.
En tant que « dinosaure » du site, comment as-tu gardé la flamme pour ne pas rendre le tablier ?
Comme je disais précédemment, ce qui motive, c’est cette volonté farouche de rendre service aux gens en leur apportant de l’information sur leur équipe ou leur joueuse préférée ou la joueuse qu’ils ont suivi quand elle portait les couleurs de leur équipe favorite et qui est désormais partie à l’étranger. Ca, c’est hyper gratifiant et ça en devient émouvant.
L’idée de couvrir le basketball masculin a-t-elle déjà été évoquée ?
Clairement non car le jour où l’on pense à faire ça, on perdra l’essence-même de notre site qui est de ne parler que du basketball féminin. Cela me fait d’ailleurs penser à une anecdote amusante. Il y a quelques années, nous avions décidé d’annoncer le 1er avril que nous avions décidé d’arrêter de parler du basket féminin pour se consacrer uniquement au basket masculin pour des questions de rentabilité, etc. Eh bien, dans la journée, j’avais un message d’un certain coach dont je tairai le nom mais qui est actuellement aux Etats-Unis (oui Rach, je balance !) qui me demandait pourquoi on avait fait ce choix, en disant que c’était dommage. Ce à quoi je lui ai demandé quel jour on était et ça nous a bien fait rire tous les deux. En parlant de choses rigolotes (désolé si je m’éloigne de la question), lors d’un autre « poisson d’avril », j’avais décidé d’annoncer que mon amie Polina TZEKOVA avait décidé de reprendre du service au TGB sous les ordres de François GOMEZ. Durant toute la journée, elle a été assaillie de messages et d’appels venant de sa Bulgarie natale pour avoir confirmation ou demander des interviews. On en parle encore aujourd’hui et c’est devenu une « private joke ».
As-tu fait de belles rencontres durant ces 20 ans ? Peux-tu nous en dire un peu plus ?
Toutes les personnes citées précédemment sont considérées comme étant des belles rencontres à mes yeux, pour ce qui est du monde du basket féminin. J’y associe aussi Yacine SENE, qui m’appelle désormais « Monsieur Postup » quand on se croise. Je pense également à l’un des plus grands coaches du monde, un certain George DIKEOULAKOS. Quand on voit son parcours et qu’il vient vers moi en me disant « how are you, my friend? », ça calme ! En tant que Valenciennois, je pense bien sûr à Fred DUSART dont le départ à l’autre bout du monde m’a valu quelques larmichettes puisque, pour être honnête, j’étais hospitalisé à ce moment-là donc ça m’a beaucoup chamboulé, cette histoire… Un autre Nordiste auquel je pense, c’est bien évidemment François GOMEZ, qui a d’ailleurs eu la gentillesse d’apporter son expérience à notre site il y a quelques années en rédigeant quelques publications avec le franc-parler qu’on lui connait et que j’apprécie. Parmi les joueuses, anciennes ou actuelles, que je considère comme des amies, je peux citer Raddy BACHVAROVA, Lucie BOUTHORS, Marie-Eve PAGET, Jenny FOUASSEAU, Khadi GASSAMA, Elodie CHRISTMANN, Géraldine ROBERT, Alicia LOPEZ VERDU, Nagnouma COULIBALY, Kristen MANN, Fatou DIENG… Pardon si j’en oublie ! Je me suis aussi fait des amis parmi les arbitres, ils se reconnaîtront mais j’ai notamment une pensée pour un « jeune retraité », Mickaël MILLIOT, qui, quand je lui en ai parlé en avril, se souvenait de la période où on se croisait déjà à Valenciennes.
Si tu avais une baguette magique, que pourrais-tu souhaiter à Postup.fr ?
Plusieurs choses… Que notre équipe grandisse pour que ce site reste en vie et, dans mes rêves les plus fous, que l’on puisse en vivre. Sans vouloir polémiquer (ce n’est pas mon genre du tout !), j’aurais bien aimé que l’on soit davantage mis en lumière par la Fédération Française de Basketball pour ce côté « service rendu » mais il ne faut jamais dire « jamais » ! Je sais d’ailleurs que son ancien président, Jean-Pierre SIUTAT, nous lisait.
Pour conclure, je voudrais vous remercier très sincèrement, chères lectrices et chers lecteurs, pour votre fidélité au quotidien, que vous soyez joueuses, coaches, dirigeants ou tout simplement passionné(e)s comme nous de ce sport qui mérite d’être en haut de l’affichant sans pour autant perdre son côté convivial et accessible dans tous les sens du terme. Et bien évidemment, à titre personnel, je remercie les rédactrices et rédacteurs qui, depuis 2 décennies, se sont succédés pour faire vivre cette belle aventure. De même, je remercie les personnes qui ont apporté leur pierre à notre édifice au niveau technique, quand le site a quelques soucis. Merci !!
Véritable passionné de sports collectifs depuis de nombreuses années ! Né la même année où le Limoges CSP avait remporté la première Coupe d’Europe de l’histoire du sport français, n’était sans doute pas un hasard ! Même si le ballon ovale est roi où j’habite, j’aime contribuer à mettre en lumière le basketball féminin.
