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Ligue 2 : Nice réussit la passe de 3, les équipes du podium enchaînent

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Kelly CORRE et les Niçoises sont-elles en plein renouveau ? © Frédéric CAUPAIN

 

 

Calais INSEP 66-45
Rezé La Glacerie 50-63
Nice Chartres 71-58
Charnay Montbrison 68-63
Angers Aulnoye-Aymeries 73-66
Reims Toulouse 53-68

 

Classement :

1. Charnay 31Pts 17m
2. Toulouse 30Pts 17m
3. Angers 30Pts 17m
4. Reims 27Pts 17m
5. Montbrison 27Pts 17m
6. Chartres 27Pts 17m
7. Aulnoye-Aymeries 26Pts 17m
8. Rezé 25Pts 17m
9. Calais 23Pts 17m
10. Nice 21Pts 17m
11. La Glacerie 19Pts 17m
12. INSEP 18Pts 17m

 

Dès vendredi soir, Calais a pu se rassurer, comme attendu. Car dans sa salle et porté notamment par le duo Imane EL GARTI-Anaïs VIELOTTE (18 et 15 points), le COB a rapidement pris le dessus (19-4, 10′) sur les pensionnaires du Centre Fédéral toujours privées de Zoé WADOUX. En menant déjà de 19 points à la pause (34-15, 20′), les Calaisiennes ont pu répéter leurs gammes en seconde période et préparer les prochaines et préparer la réception d’Angers le week-end prochain.

Le lendemain, La Glacerie a confirmé sa bonne forme du moment et a montré que la grave blessure de Camille CABATON avait, paradoxalement, surmotivé le moral des troupes. Sous l’impulsion de l’ancienne meneuse du NRB voisin, Aline DUMONT, les Normandes ont rapidement pris les choses en mains (22-36 après 20 minutes puis 36-54 après 30 minutes). Les Rezéennes ont tenté de réagir en fin de match mais privées d’Ance AIZSILA pour la deuxième semaine de suite, elles ont payé cash leur manque de rotations.

Sur la Côte d’Azur, Nice a réalisé un très gros coup en se payant la tête de Chartres. Les choses étaient pourtant mal embarquées pour les filles de Julien PINCEMIN (19-20, 10′) face à une équipe de Chartres bien en place. Mais au fil des minutes, toujours sans Elise MARIE ni Emily PRUGNIERES, les Chartraines ont accusé le coup et pris un 13-4 qui a permis aux Niçoises de mener 32-24 à la pause. En revenant sur le parquet de la salle LEYRIT, Kékelly ELENGA (24 points à 66%) et les siennes ont essayé de remettre de l’essence dans le moteur (52-49, 30′) pour croire en leurs chances de victoire. Mais elles ont de nouveau calé dans les 10 dernières minutes, la faute, notamment à une Kelly CORRE des grands soirs (22 points, 6 rebonds) qui a permis à ses troupes de décrocher sa troisième victoire de suite.

En parlant de série, c’est également ce qu’essaie de faire Charnay. Devant son public, le leader a pris le taureau par les cornes en première mi-temps (36-30, 20′) face à une formation montbrisonnaise qui n’a rien lâché, à l’image d’Olga MAZNICHENKO (20 points, 7 rebonds). Mais en s’appuyant sur une Johanna CORTINOVIS auteure d’un double-double (18 points, 11 rebonds), le CBBS ne s’est jamais laissé surprendre et a tout de même su l’emporter pour conserver sa première place.

Cette victoire des filles de Matthieu CHAUVET était d’autant plus importante que, dans le même temps, leurs 2 poursuivants se sont également imposés. D’abord, Angers a su faire face à une redoutable équipe d’Aulnoye-Aymeries (qui a joué sans Caroline PLUST, touchée à la main). Bien emmenées par Stépha M’BAYE (24 points, 3 rebonds), les Nordistes ont toujours tenté de renverser leurs hôtes mais étaient en panne d’adresse à l’extérieur, là-même où Elise PRODHOMME (23 points dont 5/10 à 3 points) et les locales ont été particulièrement efficaces (45% pour Angers contre 15% pour Aulnoye-Aymeries). Si bien que, malgré l’absence d’Isis ARRONDO (à qui l’on souhaite un joyeux anniversaire en retard) depuis 2 semaines, les Angevines ont semblé maîtriser leur sujet de bout en bout pour s’imposer.

Et dans le même temps, Isabelle STRUNC (20 points, 8 rebonds) a régalé ses coéquipières toulousaines au lendemain de son 28ème anniversaire pour les aider à aller prendre le meilleur sur Reims. Pourtant, Elizabeth PAVEL (21 points, 5 rebonds) et les siennes ont bien résisté pendant une vingtaine de minutes (29-38, 20′). Mais en revenant sur le terrain de leur salle René TYS, elles ont essuyé un cinglant 23-11 en 10 minutes dont elles ont essayé de se remettre, mais en vain. D’autant que l’absence de longue durée de Marine DEBAUT pour les raisons que l’on connaît s’est fait ressentir par un manque de fraîcheur dans les moments charnières. Il n’en fallait pas plus pour que le TMB puisse revenir à la maison satisfait du travail effectué.

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