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Tony PARKER (président du LDLC ASVEL Féminin) : « Je reste à l’ASVEL ! »

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Le président du club lyonnais a tenu à rassurer quant à ses positions futures © Laury MAHE

 

Il y a quelques jours, un article de L’Equipe que nous avions relayé avait fait l’effet d’une bombe quand nous apprenions que Tony PARKER avait l’intention de revendre ses parts du LDLC ASVEL masculin et féminin à Serge BUENO, patron de Smart Good Things, l’un des partenaires privilégiés du club. Dans une longue interview accordée au quotidien sportif, le dirigeant a tenu à rassurer :

[…] Je ne vais nulle part, je reste à l’Asvel ! Pour comprendre ma réflexion, mon but est d’amener l’Asvel le plus haut possible. Être champion d’Europe un jour avec les garçons, être champion d’Europe avec les filles et continuer à faire monter la valeur du club. Après, j’essaie de trouver les bonnes associations pour faire grossir le club. Il y a eu LDLC au début, qui demeure très important, puis l’association avec l’OL. Au fur et à mesure, on a monté notre projet. Moi, ça ne m’intéresse pas de rester à l’Asvel pour jouer le milieu de tableau. Vu ce qu’il se passe en ce moment, je veux trouver des solutions pour que l’on continue à monter.

Et de poursuivre :

Bien sûr ! Je serai président. Serge (Bueno) ne veut pas être président de l’Asvel. Je suis DG délégué de Smart Good Things, je suis dans le conseil d’administration, je vais devenir le deuxième plus gros actionnaire de « SGT » et j’aurai tous les pouvoirs pour gérer le sportif à l’Asvel. Rien ne va changer de ce côté-là. Je resterai président de l’Asvel, président de l’Asvel féminin, le board sera le même et je prendrai les décisions comme d’habitude.

Pour résumé, ce changement de cap pour l’ancien meneur des Bleus et des San Antonio Spurs, en revendant l’intégralité de ses parts du club, permettra de faire entrer les capitaux de Smart Good Things encore davantage au sein de l’entité lyonnaise et ainsi accroître le budget dans le but de rivaliser avec les grands d’Europe et ainsi remporter l’Euroligue.

Un commentaire

  1. TP a raison . Si un club français veut gagner l’ Euroligue vingt après l’ USVO, il lui faut plus de moyen pour s’offrir par exemple une intérieure WNBA.

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