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LFB : Le LDLC ASVEL Féminin sur le point de perdre l’un de ses principaux sponsors

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Tony PARKER a décidément passé une semaine très compliquée © Thibaut LASSER

 

Nouveau tremblement de terre dans le Rhône ! Quelques jours après l’annonce d’une sanction à l’encontre de l’équipe masculine et notre questionnement (nous insistons d’ailleurs sur le fait qu’il ne s’agissait d’aucune affirmation de notre part), quant aux possibles répercutions sur l’équipe féminine, nos confrères de L’Equipe ont fait aujourd’hui de nouvelles révélations quant à l’avenir du LDLC ASVEL (féminin et masculin).

En effet, selon le quotidien sportif, Tony PARKER, le président du club, aurait reçu un courrier de Serge BUENO dans lequel celui-ci aurait fait part de sa volonté de désengagement en tant que potentiel actionnaire majoritaire. Voici un extrait :

Il était convenu entre nous tous de faire jouer à Smart Good Things un rôle déterminant aux côtés de l’Asvel, à travers une prise de participation majoritaire au capital. Ceci n’avait qu’un seul but : recruter les meilleurs joueurs et leur fournir le meilleur accompagnement possible dans la durée. Nous prenons acte du refus exprimé par une minorité d’acteurs de considérer l’ambition que nous portions, refus pour lequel chacun peine encore à trouver la moindre explication sérieuse. Dès lors, notre participation au projet perd tout son intérêt. Nous te souhaitons et souhaitons à l’Asvel le plus grand des succès sportifs auquel ce club doit prétendre.

Reste désormais à savoir si Smart Good Things, la société dont l’homme d’affaires franco-israélien est à la tête, restera toujours partenaire du club pour la saison à venir. Toujours selon le média spécialisé, des discussions parallèles avec l’Américain John TEXTOR, nouveau propriétaire de l’Olympique Lyonnais (le club de football de la ville), se seraient intensifiées. Serait-ce là la solution pour permettre à T. P. de rebondir ? Toujours est-il que, dans ce contexte très tendu, la réunion avec les joueuses et joueurs, qui devait se tenir avant-hier, n’a finalement pas eu lieu.

Affaire à suivre !

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