LFB : Tony PARKER s’explique sur la situation du LDLC ASVEL Féminin (et masculin)

Tony PARKER ici avec Laurent DE LA CLERGERIE et Marie-Sophie OBAMA © Jérôme LE BRIS

Après la vague qui a déferlé dans le Rhône la semaine dernière, Tony PARKER, le président du LDLC ASVEL masculin et féminin, a tenu à rassurer tout le monde. Dans une interview accordée à nos confrères du Progrès, T. P. s’est voulu rassurant :

Je vais rester majoritaire, nous allons faire une levée de fonds avec mes actionnaires du moment, nous allons tous voir notre participation à la hausse, et si je ne peux pas dire le nom du nouveau partenaire, j’ai signé, pour 3 ans, le plus gros contrat qu’on n’ait jamais eu à l’Asvel depuis que je suis président. […] Il n’y aura plus Smart Good Things la saison prochaine. Ce nouveau partenaire va remplacer Smart Good Things et sera le sponsor principal, pour les garçons et les filles. Et moi je vais continuer mon aventure avec Smart Good Things (en tant que directeur général délégué, ndlr).

On y apprend par ailleurs qu’à ce jour, l’Olympique Lyonnais est lié à l’ASVEL à hauteur de 33% jusqu’en 2030, année jusqu’à laquelle l’ancien meneur des San Antonio Spurs sera à la tête du club. Peut-il devenir ensuite (ou en parallèle ?) président de l’OL ? Il répond :

C’est John (TEXTOR, l’actuel propriétaire de l’OL) le boss. Il m’a dit qu’il voulait que je sois plus impliqué.

Il est donc urgent d’attendre pour connaître l’identité du nouveau partenaire privilégier du LDLC ASVEL.