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Ligue 2 : Rezé et Calais s’offrent des équipes du haut de tableau, Reims revient sur le podium

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Fleur DEVILLERS a encore contribué à la victoire calaisienne © Frédéric CAUPAIN

 

Résultats de la journée 13 des 6 et 9 février 2019 :

Reims INSEP 78-62
Rezé Chartres 56-53
Calais Montbrison 58-55
Nice Aulnoye-Aymeries 63-74
Charnay Toulouse 59-61
Angers La Glacerie 91-51

 

Classement :

1. Chartes 23Pts 13m
2. Charnay 23Pts 13m
3. Reims 22Pts 13m
4. Toulouse 22Pts 13m
5. Angers 22Pts 13m
6. Montbrison 21Pts 13m
7. Aulnoye-Aymeries 20Pts 13m
8. Rezé 20Pts 13m
9. Calais 18Pts 13m
10. Nice 14Pts 13m
11. INSEP 14Pts 14m
12 La Glacerie 13Pts 14m

 

Dès mercredi soir, Reims avait déjà les crocs pour se payer la tête du Centre Fédéral. Portées par une Elizabeth PAVEL encore une fois efficace (16 points à 80%), les Rémoises ont démarré en trombe (25-9, 10′). Et même si en face, Zoé WADOUX (12 points, 2 rebonds) et ses copines ont essayé de cravacher pour revenir dans le coup, le retard accumulé était trop important pour espérer s’imposer en Champagne. Et même si, à l’époque, elles ne le savaient pas encore, les filles de Marie-Julie LEVANT ont réalisé une très bonne opération puisqu’elles se retrouvent désormais au troisième rang grâce à un point average favorable vis-à-vis de leurs concurrents directs que sont Toulouse et Angers.

Hier soir, le TMB a bien voyagé jusqu’en Saône-et-Loire. Charnaysiennes et Toulousaines ont joué au jeu du chat et de la souris pendant 3 quarts-temps (45-45, 20′). Mais dans les dix dernières minutes, une Kaylee JENSEN de gala (15 points, 16 rebonds) et ses partenaires ont haussé leur niveau de jeu pour griller la politesse à leurs hôtes même si Laëtitia GUAPO (7 points, 4 passes décisives) et Mélanie DEVAUX (11 points, 2 rebonds) ont tenté de provoquer des fautes dans les dernières secondes pour essayer de revenir dans le coup, en vain.

Et pendant que Toulouse allait batailler ferme à Charnay, Angers a passé une soirée des plus tranquilles devant son public. En s’appuyant sur l’expérience de Stephany SKRBA (19 points, 10 rebonds), l’UFAB 49 n’a en effet fait qu’une seule (grande) bouchée de l’un des 2 promus, La Glacerie même si les deux équipes ont fait relativement jeu égal dans le deuxième quart-temps (17-15). Le moral est donc au beau fixe pour les filles de David GAUTIER.

En revanche, Montbrison s’est légèrement éloigné du wagon de tête hier soir. En déplacement sur la Côte d’Opale, le BCMF s’est fait surprendre dans la salle Calypso. Bien emmené par une Fleur DEVILLERS toujours aussi indispensable à son équipe (18 points, 4 passes décisives), Calais était pourtant en mauvaise posture pendant 30 minutes (40-42, 30′). Mais dans le money-time, les protégées de Kevin BROHAN ont lâché les chevaux et ça a payé pour qu’Olga MAZNICHENKO (24 points, 10 rebonds) puissent mettre un genou à terre. Avec ce succès, les Calaisiennes font encore un pas vers le maintien, même si la saison est encore très longue.

Pendant que Charnay se faisait surprendre par Toulouse, c’était également le cas pour l’autre co-leader, Chartres. En déplacement en banlieue nantaise, Kekelly ELENGA (13 points, 9 rebonds) et ses coéquipières sont en effet tombées avec les armes à la main sur le terrain rezéen. Les choses étaient pourtant mal embarquées pour le CSP, qui ont mis du temps à rentrer dans la partie (5-15, 10′). Mais au courage et en remettant encore une fois les clés à la paire Kani KOUYATE-Oumou TOURE (19 et 20 points), les locales ont su refaire leur retard et ont même ensuite passé leur temps à faire trembler des visiteuses en manque de réussite, notamment à l’extérieur de la peinture (11% contre 23%).

Dans la deuxième partie, Aulnoye-Aymeries n’a pas fait le déplacement jusque sur la côte d’Azur pour rien. Avec une Shanavia DOWDELL en grande forme (28 points, 11 rebonds), l’ASA a rapidement montré les dents (10-22, 10′). Margaux OKOU-ZOUZOUO (21 points, 4 rebonds) et les Niçoises, privées de Donica COSBY (blessée ?) et avec pas moins de 7 joueuses de moins de 20 ans, ont tout donné pour essayer de relancer la machine mais en ayant perdu 22 ballons, le défi semblait trop difficile à relever pour les joueuses de Julien PINCEMIN, qui n’arrivent plus à décoller de la zone rouge… pour l’instant ?

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